Et si la paresse n’était pas un vilain défaut, mais une vertu moderne ? C’est la proposition audacieuse d’Hadrien Klent dans son roman Paresse pour tous !, une fiction politique étonnamment lucide qui redonne à la lenteur et au temps libre une place d'honneur dans nos existences. Chez TALC, cette idée résonne profondément. Parce que s’autoriser à ralentir, c’est aussi s’autoriser à vivre mieux.
La paresse : entre stigmate social et révolution douce
La paresse. Un mot longtemps chargé de jugements, relégué dans les marges du langage vertueux. Pourtant, dans un monde saturé de sollicitations, d’urgences constantes et d’exigences de performance, s’autoriser à ne rien faire — ou mieux, à faire moins mais mieux — devient un acte profondément subversif. Et salvateur.
Le roman Paresse pour tous ! d’Hadrien Klent ne s’y trompe pas. À travers une fiction politique audacieuse, il propose une société où le travail cesse d’être la mesure unique de la valeur humaine. Il imagine un monde dans lequel ralentir n’est pas un luxe, mais un droit. Un monde où la paresse se réinvente comme une nouvelle forme de liberté.
Dans Paresse pour tous !, on suit Émilien Long, intellectuel devenu président de la République sur un programme inattendu : l’instauration d’un revenu universel inconditionnel et la diminution drastique du temps de travail. Ce postulat de départ, à la fois utopique et ancré dans les débats contemporains, permet à Hadrien Klent d’explorer une question brûlante : et si l’on cessait de travailler autant, que ferions-nous de nos vies ?
Le livre invite à une réflexion collective sur la valeur du temps, la notion d’utilité sociale et le droit au repos. Plus qu’une satire, c’est un plaidoyer doux pour une réconciliation avec soi-même.
La paresse n’est pas l’oisiveté : elle est une forme d’intelligence
Ce que démontre Paresse pour tous !, c’est que paresser n’est pas ne rien faire : c’est faire autrement. C’est reprendre la main sur son temps, privilégier la qualité à la quantité. Une idée qui n’est pas sans rappeler la slow life ou le minimalisme – deux courants de plus en plus prisés, notamment par les citadins en quête d’authenticité et d’équilibre.
En ce sens, la paresse peut être vue comme un art de vivre, une façon de se reconnecter à soi-même, aux autres, au monde.
TALC et la paresse : une alliance naturelle
Chez TALC, nous ne vendons pas seulement des vêtements ou des articles pour la maison. Nous défendons un style de vie. Nos pièces sont pensées pour accompagner des journées douces, inspirantes, élégantes sans effort. Des coupes fluides, des matières de qualité éco-responsables Chaque création invite à respirer, à prendre le temps.
À l’image du héros de Klent qui troque ses costumes politiques pour des vêtements simples mais justes, TALC célèbre cette mode du relâchement, du confort raffiné. Parce qu’un bon vêtement ne contraint pas, il libère.
Recentrer la vie sur l’essentiel
La grande force du roman réside aussi dans sa capacité à montrer que ralentir ne signifie pas renoncer. Bien au contraire. C’est dans le vide que se crée le plein. En cessant de courir, on entend mieux. On voit plus. On vit plus intensément.
C’est cette philosophie que nous mettons en pratique chez TALC : la recherche du juste essentiel. Moins de pièces, mais mieux pensées. Moins de pression, plus de liberté.
Un imaginaire politique… et poétique
Le récit de Klent est aussi un hommage aux utopies. Non pas comme des rêveries impossibles, mais comme des boussoles. Et dans ce futur possible, les vêtements ne sont pas des armures sociales, mais des refuges, des partenaires de bien-être.
En cela, Paresse pour tous ! inspire une réflexion intime : et si nous avions, tous, le droit de choisir un rythme de vie aligné à nos besoins profonds ? TALC répond : oui.
Et si la paresse était notre avenir le plus désirable ?
Paresser, ce n’est pas fuir le monde, c’est choisir comment y entrer. Avec légèreté, avec soin, avec style. TALC ne fait pas de grands discours, mais des vêtements qui murmurent : « Prenez le temps. Soyez bien. »
Et si c’était cela, la vraie modernité ?